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Quand les JO boostent l’activité d’Azfalte

Plusieurs entreprises basées à Paris font appel à l’entreprise Azfalte, basée à Roubaix et à Hem qui met à leur disposition des vélos électriques. Objectif : permettre à leurs salariés de se déplacer plus facilement pendant les Jeux olympiques.Ajoutez votre titre ici

Des vélos fabriqués en Europe

Le développement du vélo élec­trique favorise l’activité d’Azfalte qui ne construit pas les vélos. « Notre règle, c’est de choisir des marques de qualité qui fabriquent le plus possible en Europe. Ainsi nos vé­los pliants Eovolt sont conçus à Lyon. Nous ensuite nous le préparons pour l’utilisation que va en faire le salarié de l’entreprise. »

Dans ses ateliers à Hem, les salariés d’Azfalte vont ensuite monter le vé­lo, l’équiper, le relier à un QR code qui servira de carnet d’entretien. « En cas de question ou de problème, le salarié sera directement en contact avec nous. L’entreprise n’aura pas be­ soin de s’en occuper. » Le salarié s’en­gage à utiliser son vélo pendant trois ans avant de pouvoir le rache­ter s’il le souhaite. « On est sur un métier de services une fois le vélo livré mais on espère aussi contribuer à la réindustrialisation de la France avec demain des vélos totalement fabriqués en France. »

Azfalte et les JO

Comment se déplacer pendant les Jeux olympiques alors que la circu­lation sera restreinte notamment à Paris ? Plusieurs entreprises ont ainsi fait appel à Azfalte pour mettre à disposition de leurs salariés des vélos que ce soit pour des colla­borateurs des JO ou pour des sala­riés travaillant dans la région pari­sienne. « On a créé des offres tempo­raires de quatre mois (contre trois ans) pour permettre aux employeurs de mettre à disposition des vélos pour leurs employés : Toyota, Nike… Nous devrions mettre à disposition un mil­lier de vélos. »

L’entreprise a notamment dû em­baucher. « Nous sommes quinze mais nous allons être vingt à vingt­ cinq. » Une fois les JO terminés, Jean-­François Dhinaux espère que des salariés y auront pris goût. Mais il envisage également de recycler ces vélos de « seconde main ». De même l’entreprise d’ouvrir un nou­vel atelier à Lyon.

Une société en hyper croissance

« Le métier d’Azfalte est d’aider les entreprises à intégrer le vélo dans la mobilité de leurs collaborateurs et de leurs clients, explique Jean­François Dhinaux, fondateur et président d’Azfalte. Et on est en hyper croissance. Fin avril on a déjà fait trois fois le chiffre global de l’an der­nier. »

La jeune société créée en 2020 vient notamment de li­vrer plus de quatre cents bicyclettes à Cofidis à Villeneuve­-d’Ascq. La compagnie financière met à disposition des salariés un vélo électrique avec accessoires (casque, gilets, porte smartphone…) pour 10€ par mois. « Cofidis prend en charge 70 % du financement mais avec une défiscalisation de 25%», précise Nicolas Wallaert, directeur général de Cofidis.

Objectif : favoriser les déplacements décarbonés des salariés que ce soit dans leurs trajets domicile­-travail ou lors de leurs dépla­cements professionnels. « Nous mettons à disposition des vélos professionnels, des vélos techniques, de courtoisie… Nous avons tout un portefeuille d’offres de service. »

Le témooignage de Rémi Dambre, vélotaffeur avec AZFALTE 
Rémi Dambre est manager chez Cofidis à Villeneuve­d’Ascq. La semaine dernière, il a reçu comme plus de 400 autres collabo­rateurs du groupe un vélo signé Azflate. Cofidis met à disposi­tion de ses salariés ces vélos électriques pour 10 euros par
mois.

« Je fais beaucoup de voiture alors que je n’ai que 8 km pour venir au travail. L’été j’avais un peu utilisé mon VTT mais je trouvais toujours une bonne raison pour ne pas le prendre. » Il a souscrit l’offre proposée par Cofidis. « Mes enfants grandissent et j’ai moins besoin de les déposer. Tout le monde prendra le vélo le matin. Cela leur paraîtra naturel dans quelques années. »

Si Rémi Dambre a fait son choix seul, il en a beaucoup parlé au sein de son ser­vice. « Chacun va regarder comme cela se passe mais je pense que l’expérience sera la meilleure méthode pour que d’autres passent au vélo. »